ÔDE A L'AVARICE
Ode à l’avarice
Ô mon avarice quand tu me tiens
Pourtant je ne sais d’où me vient ce venin
Qui respire si fort l’odeur du jasmin
Et qui me rend chaque jour si mesquin
Ô mon avarice reviendras-tu demain
Faire de moi un châtelain ?
A jamais je resterai un grand radin
Pour m’enrichir toujours plus de mes gains.
Bernie