Ô mon avarice
Ô mon avarice, toi qui me tiens vivant
Comment vivre sans toi si tu m’abandonnais
Comment devenir grand sans toi à mes côtés.
Ô mon vice absolu, mon péché avoué,
J’ai déjà bien rempli mon coffre de billets
Mais j'en veux encor' plus, toujours plus des écus.
Mon avarice hélas sans toi je ne suis rien
Au diable les gens trop intentionnés
A jamais je serai éternel affamé.
Léccie